LibéMarseille, 8 juillet 2010
La député PS des Bouches-du-Rhône affirme que sa mise en examen jeudi « apparaît à l'évidence comme une diversion ».
« Ni mes conseils, ni moi-même n'avons pu prendre connaissance effective du volumineux dossier (comportant plusieurs dizaines de tomes) constitué en deux ans et demi », affirme la députée, dans un communiqué envoyé par son avocat Me François-Noël Bernardi.
La députée socialiste a été mise en examen, jeudi à Marseille, pour complicité de tentative d'escroquerie et complicité de détournement de fonds publics, dans le cadre d'une affaire de détournements présumés de subventions de la région Paca.
Sylvie Andrieux assure que, dès qu'elle aura pris connaissance des « 11 110 côtes », elle apportera « d'autres éléments permettant de confondre ceux qui n'ont cherché, à travers des propos diffamatoires et des accusations fallacieuses, qu'à [la] destabiliser dans [son] travail d'élue. »
La député assure qu'elle a pu, « lors d'une déclaration liminaire, pendant plus de quatre heures, apporter au magistrat instructeur les premiers éléments permettant de démontrer la fausseté des accusations » dont elle se dit l'objet.
jeudi 8 juillet 2010
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